Friday, December 4, 2009

Semaine 10

Samba a une vision du maître, nous pouvons identifier que le rapport entre Samba et le maître est fort. Il semble que le maître est une figure du père. Samba demande au maître de l’aider, «…j’implore en grâce ta clameur dans l’ombre, l’éclat de ta voix, afin de me ressusciter à la tendresse secrète…» (p.174). Pendant le roman, le rapport entre les deux m’intrigue. Samba pleure quand il laisse le maître pour aller à l’école. Il donne un cheval au maître, mais le maître le refuse. Le maître donne le cheval à l’école, il parle du cheval, mais je pense que il parle de Samba aussi, «Non…Ce cheval ne peut pas être un cheval de trait. Il a la tête trop haute, il est trop beau. On ne peut pas demander au pur-sang de tirer la charrue….Ce soir-là, les gens du Diallobé apprirent que le maître avait fait cadeau au directeur de l’école nouvelle d’un pur-sang. «Cette bête sémillante, assurait le maître, serait mieux à sa place à l’école nouvelle qu’au Foyer-Ardent…»» (p.78-79). Nous pouvons voir que Samba est comparable au maître. Le fou peut voir le maître dans Samba et je suis d’accord avec le fou. Samba est gentil avec le fou, comme le maître, «Samba Diallo sentit une telle pitié l’envahir qu’il se précipita, releva le fou et le serra sur sa poitrine.» (p.178). Samba discute l’Occident avec le fou, comme la conversation précédente entre le maître et le fou.

Encore une fois, le roman nous présente une image de la lumière, mais l’image est sinistre, «…le soleil couchant avait teint le ciel de pourpre sanglante.» (p.184). Le fou guide Samba jusqu’au cimetière, Samba a peur, «Son cœur se mit à battre» (p.184). Samba lutte pour la foi, il souhaite avoir des conseils du maître. Il ne prie pas. Il ne promet pas de prier. Le fou attaque Samba, c’est le début de la fin, «C’est alors que le fou brandit son arme, et soudain, tout devint obscur autour de Samba Diallo.» (p.187).

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