Samba et le Chevalier continuent la discussion du travail. Le Chevalier indique que l’Occident a déclaré que Dieu est mort, «Il a commencé, timidement, par reléguer Dieu «entre les guillemets». Puis, deux siècles après, ayant acquis plus d’assurance, il décréta : «Dieu est mort».» (p.113). Il décrit le changement social de l’Occident. L’Occident considère Dieu comme un mythe, Dieu est une légende, une invention. Et puis, Dieu est mort. Le Chevalier discute la révolution industrielle et la mort de l’homme qui menace l’Occident, «Après la mort de Dieu, voici que s’annonce la mort de l’homme.» (p.113). Il explique ses sentiments, il dit que il n’y a pas besoin d’avoir beacoup de gens en train de travailler à cause de la révolution industrielle, «Il ne sera plus besoin que de très peu de vie pour fournir un travail immense.» (p.113). Il indique que l’homme n’a que le bonheur en présence de Dieu, et que l’attitude de l’Occident est insuffisante, «L’homme n’a jamais été aussi malheureux qu’en ce moment où il accumule tant…C’est ainsi que l’histoire de l’Occident me paraît révélatrice de l’insuffisance de garantie que l’homme constitue pour l’homme. Il faut au bonheur de l’homme la présence et la garantie de Dieu.» (p.114).
Samba est d’accord, et son esprit est satisfait, «…Samba Diallo avait retrouvé la paix.» (p.115). Il pense à la volonté, il dit que la volonté est la créature de Dieu, «…créature de la volonté est créature de Dieu.» (p.116). Cette vue est intéressante, c’est assez paradoxal. L’homme est imparfait à cause de la volonté, mais pourquoi crée-t-il l’imperfection ? Dieu a banni Adam et Eve du paradis à cause de la volonté. C’est déroutant bien sûr…
Friday, December 4, 2009
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