Friday, December 4, 2009

Semaine 6

Le chapitre neuf commence avec une description du Chevalier. Samba observe son père, il remarque la présence de Dieu qui entourne le Chevalier, «C’est cette présence, je crois, qui lui colle ainsi la peau sur les os du front, lui enfonce dans les orbites profondément excavées ce regard lumineux et calme. Sa bouche n’est ni sourire, ni amertume. Les prières profonds doivent certainement incinérer dans l’homme toute exubérance profane de vie. Mon père ne vit pas, il prie…» (p. 106). Il semble que Samba a des sentiments negatifs, il a l’air sarcastique. Il commence à mettre la foi et la religion en doute. Ces sentiments font peur à Samba.

Samba et le Chevalier discutent le travail. Samba pense que le travail peut aliéner les gens de Dieu. Le but du travail est l’accumulation…Le Chevalier explique ses pensées, le travail justifie la vie, et la vie justifie Dieu..Il décide que le travail, par ce rapport, donne le sens à la vie et à Dieu, «Si un homme croit en Dieu, le temps qu’il prend à sa prière pour travailler est encore prière» (p. 112). Je ne suis pas d’accord avec ses sentiments. Ils sont intéressants bien sûr, mais je n’accepte pas ces idées d’un monde âgé…Mais, contrairement au Chevalier, je n’avais jamais pleine confiance en l’ombre. Il est possible que nous somme avides par nature, et nous nous fixons sur le présent au lieu d’être plus spirituels. Mais je préfére penser à la vie comme le dernier grand spectacle où je joue un rôle principal. Je ne regrette rien. Je contrôle mon propre destin jusqu’à la fin…Et après la fin? Je ne sais pas…Je dois vivre pour le présent. Le lendemain est plein d’incertitude.

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